En Mauritanie, la ruée vers l’or est plus que jamais une réalité. Nombreux sont les particuliers à rechercher de l’or dans ce coin du monde dont les sous-sols sont encore très riches. Or, pour encourager et protéger les mineurs artisanaux, l’État a décidé d’encadrer leurs activités. De nouvelles recettes fiscales sont donc prévues. Aujourd’hui, avec GoldNord, revenons sur cette actualité.
Les miniers artisanaux en Mauritanie
En Mauritanie, dans le centre du pays notamment, nombreux sont ceux à chercher de l’or. En effet, les creuseurs touchent 30 % de l’or qu’ils trouvent. Tout le reste revient au propriétaire du terrain. Depuis mars 2016, on constate un énorme engouement pour cette activité. L’orpaillage rapporte en effet beaucoup d’argent. Mais au départ, la ruée vers l’or était totalement artisanale. Et voilà pourquoi l’État a décidé d’encadrer plus strictement cette activité.
Un encadrement strict
Les sous-sols de la Mauritanie contiennent beaucoup d’heures. Mais cette découverte est relativement récente. Voilà pourquoi les mineurs travaillent de manière artisanale. L’État a rapidement compris qu’il fallait encadrer la recherche de l’or. Les puits se sont multipliés et les risques d’effondrement aussi. De ce fait, les installations sauvages de concassage et de traitement des roches ne pouvaient plus être considérées comme légales. D’autant plus que le mercure commence à menacer l’environnement. De ce fait, la Mauritanie a décidé d’industrialiser la ruée vers l’or. L’État encadre plus strictement leur activité et offre ainsi de nouvelles recettes fiscales. Ainsi, en 2020, leur paillage en Mauritanie a rapporté 130 millions de dollars. Un phénomène très lucratif…
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